"Prenons le pognon, là où il est. Pas là où il manque !' nous dit Mr de...

Publié le par David de...

PhiBlackSur les transactions financières ! Le pognon disparu de la crise financière, ne l'a pas été pour tout le monde. Les commissions ont bien été versées sur des gains fictifs, avant que la supercherie ne soit dévoilée.

 Il faut se rendre à l'évidence : ce système financier, c'est faire les poches du plus con !

Et les plus cons, ce sont toujours les mêmes : les "pue la sueur" ! Ceux qui triment; qui se lèvent le matin pour se taper les embouteillages ou les heures de pointe, dans les transports en commun.

 Même les cadres ! Qui doivent être arrivés les premiers et les derniers partis.

Certains croient qu'en ayant des parts de leur entreprise ( les petites, çài fait toujours rire...), ils croient mériter leur salaire.

 Eh les gars : ce n'est pas une coopérative ! Le fruit de son travail, on l'obtient en possèdant son outil de travail.

 C'est à dire, plus de 50 % des parts... Jamais vous ne verrez une entreprise mettre entre les mains de ses salariés, plus de la moitié.

Car plus de la moitié, c'est le pouvoir absolu.

Le pouvoir absolu, c'est une dictature. Plus on divise, moins on a de risques.

 Alors, l'hyperprésident, qui choisit ses préfets, comme ses directeurs de chaînes télévisées, c'est à peu près la mçeme chose.

 Ils auraient mieux fait de couper la tête de Louis XIV ! On aurait au moins eu la peau d'un vrai tyran. Car Louis XVI donnait volontiers un coup de main aux couvreurs. Il était souvent sur les toits avec eux et déléguait le pouvoir à ses ministres.

 Car il y avait déjà une structure gouvernementale et une assemblée.

 Si Louis XIV n'avait pas ruiné l'Etat avec ses extravagances et ses guerres hors de prix, Il n'y aurait peut être jamais eu de révolution.

 Et les bourgeois auraient continué à courtiser leur particule, en épousant leur fille sans le sou, mais le "de".

Les bourgeois ont adopté les coutumes juives, dés qu'une particule se trouvait du côté de la dame, quand on se marie, on prend le nom de la femme. Rectifiez moi si je me trompe: j'ai beau m'appeler David , je suis aussi athée qu' Isaac Hayes est  noir.

 

  D'ailleurs, les amis de la dame " "Sous le coude". L'expression. ( pour ceux qui veulent suivre ) me surnommaient  ( par solidarité avec celui qui l'avait sauté avant moi et, par la suite, en simultané ), "L'Arabe au nom de Juif". Alors que ma particule est "de" et non "el" ( comme "Elkabach" ou "Elkebbir" et 'El Gringo" ).

 Ah, décidément ! L'histoire se répètera toujours. Avant d'atteindre la perfection du nombre π ( voir  Tout est lié. Même les ondes. .)

David de...