Sarkozy voulait être premier ministre sous Chirac.Il l'est sous Hollande.Ah merde,c'est le clone,Valls!

Publié le par David de...

Le Sarko de gauche est prime minister. Le foutre à la porte n'aura servi à rien: ils en ont cloné un au PS ! Il s'agite comme lui, aboie sur un ton solennel et de père fouettard.

 

On se demande qui reste t-il de gauche au PS. Cahuzac et DSK, on avait des pistes: ils n'étaient pas crédibles.

DSK: il monte une boîte de gestion de fonds domiciliée au Lux' ! Comme un vulgaire petit patron de droite (François Pinault, la Bettencourt, sont toujours citoyen français).

 

Cahuzac, on sait pourquoi, mais il y en a d'autres.

C'est un peu comme Hitler qui flattait le populo mais qui était financé par la grande bourgeoisie (Krupps, Bayer; le fabricant du ziklon B dont j'ai oublié le nom, sans compter les financiers...) qui avait peur des 35 h, pardon, des congés payés, de la semaine de 40 h, etc...le Front Populaire, quoi.

 

Une bonne dictature pour interdire grèves et manifestations pour le droit du travail.

Mais la bête leur a échappé: elle avait trouvé un moyen de se finacer en pillant les biens des Juifs...Sans compter le pillage systématique des pays annexés.

 

Voilà pourquoi les discours sont toujours imprégnés de bons sentiments avec la majorité qui peuple ce pays: des gens qui bossent mais qui parfois, sont obligés de pointer aux restos du coeur car, après avoir payé le forfait mobile, le crédit sur l'écran plat 132", le crédit sur l'Audi 8, y a plus rien à bouffer pour les enfants.

 

Les commerçants qui se font braquer par les tox pour se payer leur dose. Sans compter ceux qui braquent directement une pharmacie: combien de "médecines" contiennent de la morphine et ses dérivés; des opiacées; des drogues synthétiques comme les benzodiazépines.

 

Tout cela fait pourtant partie du jeu. C'est çà, l'économie de marché:

- La drogue: tant qu'il y a de la demande, il y a de l'offre.

-La géopolitique: ou plutôt, la géoconomie (néologisme). Al Qaïda est un pur produit (pétrolier) de cet accessoire indispensable à l'économie de marché !

-La croissance: la consommation à outrance jusqu'à la pénurie. Pour que l'offre dure et continue à faire tourner la machine, pour ne pas qu'elle se ramasse, il faut créer artificiellement de la demande.

Et bien d'autres, si vous pouvez compléter, faites.

 

Le système est à bout de souffle. Mais nos hommes politiques, qui sont les mêmes depuis près de 30 piges, s'obstinent.

Ils sont périmés; ont dépassé la date de consommation. La soupe qu'ils servent, a tourné.

Le monde a changé et ils ne s'en sont jamais rendu compte. A croire qu'il n'y aque les vieux qui votent pour des vieux ! Une politique de vieux !

Et, elle n'est plus au goût du jour.