Sarkozy:la corde à pendre l'UMP. L'arbre: le FN.

Tragi-comédie d'un fiasco.  La "machine à gagner" est devenue la "machine à perdre". Le règne d'un "baveux" (terme de taulard pour "avocat"), financé pendant 30 ans par Servier (médiator), par le biais de son cabinet d'avocat d'affaires, rejoue le même film qu'en 2007, par les voix de Guéant et Brunel. Une part de gâteau que croque à pleine dent, Marine. Qui coulera de toute façon, ne serait-ce que par ses discours incohérents sur l'intervention en Lybie (entre ex et prétendant dictateur, à moins que le vieux claque: à mort "la Gueuse" disait Pétain).

Chacun son droit d'inventaire, inventé par Kroutchev en 1953, belle gaffe, que s'est amusé à mettre en scène Jospin, belle gaffe aussi, et que n'osera jamais faire l'UMP. La mauvaise foi, chez eux, est une seconde nature, une vocation. Mieux: un saccerdoce.

Ils continuent à déclarer être tous derrière leur président, Fillon le premier. Mais plantent leurs petites aiguilles dans la (petite) poupée vaudou à l'effigie de Nicolas Sarkozy.

Certains diront, sauf les amnésiques et ceux, celles qui jouaient encore à big Jim et Barbie: c'est son tour !

Bref, le bilan est encore pire que celui de Chirac. En plus farfelu.

Une canne blanche pour notre président sinon, il va se cogner tous les poteaux de signalisation, des plus discrets aux plus clignotants.

Colin maillard, c'est bien pour rigoler à la cour de Versailles,  pas en politique.De toute façon, mais on n'y est plus.Des photos dans " Gala", c'est grotesque...

Les jurys populaires en correctionnelle sans pognon, avec une justice qu'on ampute de plus en plus, c'est du n'importe quoi.

A moins qu'il  soit définitivement fou. Et redresser la barre en 13 mois...

Un second mandat en 2012? Une psychothérapie est plus appropriée.

Une fin à la Mussolini me conviendrait mieux. Mais je ne suis pas millitant UMP. Il doit être jugé par ses pairs .

Ou une pleine caisse de paires qui ne sont même pas milliardaires (les cons). Ils font doggy bag, au fouquet's ? Y a des millitants ( pas milliardaires) qui attendaient devant les portes, la dernière fois.

David de...